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Auteur Yann Mens |
Dossier : Criminalité sans frontières / Yann Mens in Alternatives Internationales, N° 49 (Décembre 2010)
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Titre : Dossier : Criminalité sans frontières Type de document : texte imprimé Auteurs : Yann Mens, Auteur ; Amélie Baron, Auteur ; Jana Arsovska, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp. 28-45 Langues : Français Catégories : Contrefaçon
Criminalité
Cybercriminalité
Drogue : pharmaceutique
ProstitutionRésumé : Drogue, contrefaçon, prostitution... Pour saisir les opportunités qu'offrent des marchés aux chiffres d'affaires gigantesques, les groupes criminels ont assoupli leurs structures et nouent des alliances ponctuelles loin de leur territoire, au gré des trafics. Une mue qui les rend plus difficiles à combattre. En ligne : http://www.alternatives-internationales.fr/criminalite-sans-frontieres--introduc [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=3041
in Alternatives Internationales > N° 49 (Décembre 2010) . - pp. 28-45[article]Dossier enjeux : Europe : Comment l'extrême droite profite de la crise / Yann Mens in Alternatives Internationales, N° 52 (Septembre 2011)
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Titre : Dossier enjeux : Europe : Comment l'extrême droite profite de la crise Type de document : texte imprimé Auteurs : Yann Mens, Auteur ; Amélie Poinssot, Auteur ; Margaux Fritschy, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 28-45 Langues : Français Catégories : Europe
Extrême droite : politique
Immigration
Mondialisation
Parti politique
Racisme
Récession économique
XénophobieRésumé : En Norvège, en Suisse, en Autriche, ils récoltent plus de 20 % des voix aux élections législatives. En Finlande, ils les frôlent. Au Danemark, en Hongrie, aux Pays-Bas, ou en France à la présidentielle, ils gravitent autour des 15 %. A peu près partout en Europe, ils gagnent vite du terrain. La crise alimente ces partis que l'on a du mal à désigner. Extrême droite ? Certains en sont issus, tel le Front national. D'autres sont les héritiers de partis ruraux conservateurs, de mouvements anti-impôts ou de séparatismes régionaux. Droite extrême ? A coup sûr. Car ils convergent vers un même discours populiste et xénophobe qui, sans armer le bras meurtrier d'Anders Breivik, ex-militant du Parti du progrès norvégien, lui a au moins fourni son cadre idéologique d'origine. De cette rhétorique, certains postulats sont anciens. Celui qui veut que le peuple des " petits " soit sain, tandis que les élites, les " gros ", sont corrompues. Celui aussi qui nie les différences de classes sociales. D'autres, plus récents, témoignent du glissement d'un racisme fondé sur l'apparence physique à un nationalisme culturel exacerbé. Aux yeux des populistes, le peuple partage une identité unique héritée du passé et aux traits invariants. Un double péril le guetterait. De l'Union européenne d'abord qui en collusion avec les " gros " annihilerait sa souveraineté. De l'immigration surtout qui saperait son Etat-providence par la pression exercée sur les dépenses sociales dont il faudrait donc priver les travailleurs étrangers, et qui menacerait ses traditions, ses libertés à travers l'influence de l'islam. En ligne : http://www.alternatives-internationales.fr/europe-nbsp---comment-l-extreme-droit [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4792
in Alternatives Internationales > N° 52 (Septembre 2011) . - pp. 28-45[article]Dossier Enjeux : Pays émergents : être ou ne pas être occidental / Yann Mens in Alternatives Internationales, N° 51 (Juin 2011)
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Titre : Dossier Enjeux : Pays émergents : être ou ne pas être occidental Type de document : texte imprimé Auteurs : Yann Mens, Auteur ; Shakuntala Rao ; Jyrki Kallio, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 28-45 Langues : Français Catégories : Afrique du sud : République
Chine
Fédération de Russie
Inde
Mondialisation
Pays émergent
TurquieRésumé : Choc des civilisations, le retour ? On pouvait espérer que la propension à dresser l'Occident et le reste du monde l'un contre l'autre, comme deux entités irréductiblement différentes était un mauvais souvenir, un effluve saumâtre des années Bush. Las, elle semble revenir par là où on ne l'attendait pas, dans le discours des pays émergents, nouveaux champions de la mondialisation. Néoconfucianisme, nationalisme hindou, renaissance africaine, nouvel ottomanisme, retour de l'âme slave… La volonté farouche d'appartenir à une essence différente de celle de l'Occident, de rejeter dans un même élan des valeurs universalistes présentées comme allogènes ne traduit pas le repli défensif de pays marginalisés. Mais l'affirmation d'une nouvelle assurance chez ceux qui regardent avec un brin de condescendance des Etats-Unis et une Europe malmenés par la crise.
Comme toute forte revendication identitaire, celle-ci n'est pas désintéressée. Sur la scène internationale, l'opposition à l'Occident permet aux contestataires de l'ordre déclinant de se définir, malgré leurs différends, un adversaire commun, quand bien même ses contours sont imprécis et son homogénéité sujette à caution. En interne, pour des régimes autoritaires comme celui de Pékin, l'exaltation d'un passé mythifié, d'une culture éternelle sert avant tout à légitimer le statu quo politique (lire p. 30-32).
Tradition relookée
Une tentation qui touche même des pays démocratiques, comme l'Inde. Ou plus précisément leurs élites, lesquelles bénéficient des nouveaux modes de consommation empruntés à l'Ouest et entendent conserver ce privilège en s'abritant derrière le manteau commode d'une tradition où chaque catégorie sociale est supposée rester à sa place (p. 33-35). Comme d'autres revendications identitaires, celles des pays émergents ont leurs concepts, leurs intellectuels organiques. Qui en Russie par exemple élèvent la " culturologie " au rang de science (p. 36-37) pour fixer dans une carte définitive du monde les traits de chaque civilisation.
La messe n'est pas dite cependant. Car si la tradition relookée ne veut voir qu'une seule tête, les sociétés, elles, ont bien des motifs de se rebeller, quel que soit par ailleurs leur ressentiment vis-à-vis des Etats-Unis ou d'une Europe tentée par le repli. Les classes pauvres des pays émergents n'ont aucun intérêt au statu quo interne. Et les minorités (religieuses, linguistiques…) ont à tout craindre de l'homogénéisation culturelle (lire p. 38 et suivantes). Au Maghreb et au Machrek, qui étaient pourtant censés incarner l'Autre dans le clash des civilisations, les récentes révolutions ont montré, jusqu'à présent du moins, que l'on pouvait revendiquer la liberté, la démocratie et la justice sociale, sans se soucier de l'origine, occidentale ou pas, de telles valeurs.En ligne : http://www.alternatives-internationales.fr/pays-emergents---etre-ou-ne-pas-etre- [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4662
in Alternatives Internationales > N° 51 (Juin 2011) . - pp. 28-45[article]Dossier : Révolutions arabes. Pourquoi l'économie risque de tout gâcher ? / Yann Mens in Alternatives Internationales, N° 53 (Décembre 2011)
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Titre : Dossier : Révolutions arabes. Pourquoi l'économie risque de tout gâcher ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Yann Mens, Auteur ; Jean-Yves Moisseron, Auteur ; Arturo Varvelli, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 29-45 Langues : Français Catégories : Afrique du Nord
Egypte
Libye
Maghreb
Monde arabe
Printemps arabe : 2010-
Révolution : politique
TunisieRésumé : Révolutions arabes: pourquoi l'économie risque de tout gâcher
" Pain, travail, justice et liberté ", réclamaient les manifestants qui ont fait chuter les régimes tunisien, égyptien et libyen. Mais leur aura-t-il suffi de se défaire de régimes corrompus et liberticides pour voir satisfaites leurs revendications sociales ? La réponse tiendra dans les choix économiques que feront les nouveaux gouvernements, et dans leur capacité à partager ou non les richesses nationales.En ligne : http://www.alternatives-internationales.fr/revolutions-arabes--pourquoi-l-econom [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5462
in Alternatives Internationales > N° 53 (Décembre 2011) . - pp. 29-45[article]
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Titre : Egypte, Tunisie, Mali, France... : Que veulent les salafistes ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Yann Mens, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp. 26-39 Langues : Français Résumé : Ils ont surgi sur le devant de la scène politique dans la foulée des Révolutions arabes. Jusque-là, le terme d'"islamistes" nous était familier, quel que soit le flou de sa définition. Celui de "jihadistes" aussi, version guerrière de l'islam politique. Voici donc les "salafistes". Certes, ce ne sont pas des nouveaux venus, dans le paysage religieux tout au moins. Mais justement, ils semblaient s'y cantonner. Connue pour son ultra-orthodoxie, la grande majorité des salafistes, qualifiés pour cette raison de quiétistes, affectait de se tenir à l'écart des affaires de partis, d'élections, et des compromissions liées au pouvoir qui auraient pu entacher son aspiration à la pureté. Jusqu'à d'étonnantes conclusions parfois. Tel le grand théoricien syrien (né en Albanie), Muhammad Nasir ad-Din al-Albani qui conseillait aux Palestiniens de quitter la Cisjordanie et Gaza parce qu'ils ne pouvaient, sous occupation israélienne, vraiment observer les rites de l'islam. À l'opposé des quiétistes, une petite minorité de salafistes s'était lancée, comme d'autres musulmans radicaux, dans le jihad armé. Au Mali par exemple, et pour des motivations autant sociales que religieuses souvent. En ligne : http://www.alternatives-internationales.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=8005
in Alternatives Internationales > N° 58 (Mars 2013) . - pp. 26-39[article]Enjeux : Espagne, Grèce, Portugal : L'austérité au quotidien / Yann Mens in Alternatives Internationales, N° 55 (Juin 2012)
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