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Aliénation parentale : controverses, fausses allégations et pragmatique de la démarche clinique / Jean-Luc Viaux in Le Journal des psychologues, N° 296 (Avril 2012)
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Titre : Aliénation parentale : controverses, fausses allégations et pragmatique de la démarche clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Luc Viaux, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 16-22 Langues : Français Catégories : Douleur psychique
Enfant : famille
Psychologie
Psychologie de l'enfant
Relation parent - enfant
Syndrome d'aliénation parentaleRésumé : Les réactions ont été nombreuses à la suite de la publication de notre dossier sur le Syndrome d'aliénation parentale, notion controversée, mais dont il nous a paru nécessaire d'exposer la problématique. Certes, d'aucuns auraient préféré que l'on n'en parlât pas, mais cela est un autre débat relevant de la liberté d'exposer les opinions, quelles qu'elles soient. Ici, plutôt qu'une polémique, une réaction argumentée mettant en cause la légitimité de ce syndrome et une proposition de positionnement pour les psychologues confrontés à ces situations de conflit parental et à leurs conséquences sur la souffrance des enfants. En ligne : http://www.jdpsychologues.fr/accueil.asp?indicrub=SC2&nro=296 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5783
in Le Journal des psychologues > N° 296 (Avril 2012) . - pp. 16-22[article]Dossier : Addictions : nature et culture / Dufour Dany-Robert in Psychotropes, N° 1 (Vol. 18 - 2012)
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Titre : Dossier : Addictions : nature et culture Type de document : texte imprimé Auteurs : Dufour Dany-Robert, Auteur ; Isabelle Queval, Auteur ; Yves Michaud, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 5-116 Langues : Français Catégories : Douleur psychique
Drogue : pharmaceutique
Maladie à caractère social
Psychanalyse
Psychothérapie
ToxicomanieRésumé : Lorsque, par son volet compassionnel, la loi du 31 décembre 1970 jetait les bases d’une réponse thérapeutique aux problèmes de drogue, il était peut-être difficile d’imaginer que certaines structures seraient encore adéquates quarante et un ans plus tard.
Pourtant, nous avons vu émerger depuis une discipline nouvelle et en pleine expansion : l’addictologie, et celle-ci touche à des domaines si vastes qu’elle peine à être contenue dans l’univers de la médecine et de la biologie. La clinique des addictions ne se résumera jamais à une technique « standardisable », le plus important restant de l’ordre de la qualité de relation et d’écoute. Les addictions ne seront jamais des « maladies comme les autres », et dire que la toxicomanie est « une maladie chronique du cerveau » n’a pas grand sens. Par ailleurs, il faut aussi faire place aux addictions sans drogues, aux « pharmaka » non chimiques, comme le jeu pathologique, qui sont de plus en plus reconnues comme des causes de souffrances individuelles et de coûts sociaux non négligeables.
Dans toutes les approches de la souffrance psychique se pose alors la question des limites de la science, à travers l’opposition entre explication et compréhension, histoire singulière et faits généralisables, valeurs et faits objectifs. Les problèmes soulevés sont aussi complexes qu’anciens : il s’agit de reposer sur de nouvelles bases les oppositions entre le « bio » et le « psycho », les sciences « dures » et les « douces » (selon l’expression de Michel Serres), sinon la nature et la culture, voire le corps et l’âme…
À cette dimension épistémologique s’ajoute la tension entre liberté individuelle – liberté de consommer – et devoir de protection des citoyens, de plus en plus citoyens-consommateurs. En effet, que la société produise et promeuve les objets mêmes dont elle prétend protéger les individus est une évidence. L’addict d’aujourd’hui est devenu la caricature de notre société, la victime de ses injonctions, et de l’idée que la consommation peut « réenchanter le monde ».
Les addictions remettent en question le champ de la prévention, en y révélant des enjeux éminemment politiques, notamment quant aux mesures de limitation de consommation imposées au plus grand nombre, au nom de la protection d’une minorité de personnes « vulnérables ».
Or, nous ne disposons pas d’une théorie unique de référence, d’un dogme derrière lequel nous pourrions nous abriter : scientifique, médical, psychanalytique, ou sociologique. Cette théorie doit sans cesse se réfléchir elle-même, s’interroger sur ses conséquences, non seulement pour les patients pris en charge, mais aussi sur l’impact qu’elle peut avoir sur la façon dont la société appréhende les « addicts » de toute sorte.
Ce sont ces interrogations qui ont été au cœur du congrès organisé pour le quarantième anniversaire du Centre médical Marmottan sur le thème : « Corps et âme : les addictions » et qui nous sert de dossier dans ce numéro.En ligne : http://www.cairn.info/revue-psychotropes-2012-1-page-5.htm Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=6175
in Psychotropes > N° 1 (Vol. 18 - 2012) . - pp. 5-116[article]
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Titre : Dossier : Arts et soins Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire Mestre, Auteur ; Marie-Rose Moro, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp. 149-188 Langues : Français Catégories : Arts
Douleur physique
Douleur psychique
ThérapeutiqueRésumé : Nous aimerions, à la lumière des expériences contemporaines, mettre en réflexion ce qui lie ces deux mots : comment l'art participe aux soins, comment le soin participe à une créativité artistique. Soin ne sera pas entendu comme traitement, mais dans le sens de "prendre soin", porter attention, protéger ce qui est vulnérable et souffrant. L'art ne sera pas seulement compris comme production esthétique, ayant de la valeur à l'aune de certains critères, mais comme acte et expérience sensible de création. Plusieurs thèmes seront explorés :
- L'art dans la clinique : les pratiques et leurs enjeux sont multiples. Comment l'outil artistique peut trouver sa place dans le soin des personnes en institution ? Au risque de quelles ambiguïtés ? Nous pensons notamment au statut de l'oeuvre produite.
- L'art comme sublimation : les artistes parlent d'eux-mêmes dans leur fabrication, et l'art à leur corps défendant devient une activité de transformation de leur souffrance. Quel est le lien entre l'oeuvre et le symptôme ? Quel sens prend l'oeuvre pour celui qui l'a produite et celui qui la regarde ?
- L'art comme transformation du social : la danse, le théâtre, le conte relient les personnes entre elles, entre acteurs, et entre acteurs et public. Ils sont précieux dans les situations extrêmes : la maladie, le traumatisme mais aussi l'exil, car ils permettent de survivre et de réparer grâce à l'utilisation créatrice des mots, de la mémoire, du corps. L'art ne dépasse-t-il pas le soin pour être une modalité nouvelle de "vivre ensemble" ? Ces questions mêlent l'intime et le collectif, noués par des influences initiant des mouvements de l'un à l'autre. Elles permettront de dissocier pour réarticuler, de chercher les significations pour chacun des protagonistes : soignants, artistes, personnes souffrantes, public. Ce thème fera également l'objet d'un colloque le 14 et 15 octobre 2010 à Bordeaux, avec une exigence : faire dialoguer les uns avec les autres, d'une culture à une autre, d'un continent à un autre, d'un monde à l'autre. C'est pourquoi nous inviterons des thérapeutes, des artistes, des chercheurs de France et du monde.En ligne : http://www.revuelautre.com Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2951
in L'Autre > N° 32 (Vol.11.2/2010) . - pp. 149-188[article]
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Titre : Dossier : Les corps en souffrance Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp. 22-50 Langues : Français Catégories : Corps
Douleur psychique
Maladie psychosomatique
Maladies
PatientRésumé : Est-il nécessaire de rappeler que toute la vie psychique va s'étayer sur le corps ? Sans ce corps, il n'y a pas de vie. Nous en sommes dépendants. Or, en ce début de XXIe siècle, l'essor de la médecine se poursuit par une expansion de la technomédicalisation. La conséquence de ce développement en est alors le morcellement du corps humain en lien avec l'hyperspécialisation. De même, une globalité de la prise en compte du corps et de son habitant, ainsi mis à mal, est souvent récupérée par les médecines dites "alternatives" ou "parallèles". Si ces approches posent questions et controverses, en comprendre les motivations qui poussent les patients à y recourir doit nous interroger.
Aussi l'intervention du psychologue a-t-elle pour objectif de donner la parole au sujet, dans toute sa singularité, face à l'atteinte corporelle à laquelle il est confronté. Mais comment appréhender le corps psychique quand le corps somatique se manifeste, parfois bruyamment, et qu'il est l'objet de tous les soins ? L'hôpital est, par excellence, un lieu qui confronte l'Homme à l'existence de son corps, à son propre fonctionnement, un lieu où les changements corporels, qu'ils soient transitoires ou définitifs, secondaires à la maladie, aux traitements ou à l'accident, vont toucher l'individu dans toutes les strates de son psychisme, des plus récentes aux plus archaïques. De tels changements, parfois traumatiques, ne sont pas oubliables, refoulables, symbolisables. C'est alors un sujet dans son corps à corps l'amenant à un retour sur son histoire dans toute sa singularité que le psy va rencontrer. Une réalité de la maladie ou de l'atteinte qui interpelle le corps tant somatique que psychique, mais aussi dans sa temporalité. Un psychisme au corps à corps avec la douleur qui ne peut qu'amener le psychologue, le psychothérapeute, à reconsidérer les théories et à penser la spécificité de cette clinique. Une prise de contact à l'hôpital, avec un patient parfois alité, et donc dépersonnalisé, banalisé, et avec pour carte de visite la réalité de son corps malade. L'ensemble des auteurs de ce dossier vous propose ici un temps pour penser et questionner la spécificité de cette clinique souvent mise à mal dans les services hospitaliers où l'agir est roi. Un temps pour interroger notre travail tant au niveau du cadre que dans nos référents théoriques et donc dans notre identité.En ligne : http://www.jdpsychologues.fr Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2128
in Le Journal des psychologues > N° 275 (Mars 2010) . - pp. 22-50[article]
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Titre : Dossier : Dans la rue Type de document : texte imprimé Auteurs : Grégoire Rodembourg, Auteur ; Marianne Prévost, Auteur ; Christian Laval, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : pp. 15-48 Langues : Français Catégories : Douleur psychique
Exclusion sociale
Pauvreté
Précarité sociale
Réinsertion sociale
Sans-abri
Santé mentaleRésumé : Dans le cadre de l'année européenne de la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, Confluences consacre son dossier à la souffrance psycho-sociale des personnes en situation de précarité. Une précarité physique mais aussi symbolique qui, dans les cas extrêmes, mène à la rue, à ses impasses... En ligne : http://www.iwsm.be/confluences/C25.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4010
in Confluences > N° 25 (Décembre 2010) . - pp. 15-48[article]Dossier : Histoires de familles / Monique Besse in VST - Vie Sociale et Traitements, N° 110 (2è trimestre 2011)
PermalinkPermalinkDossier : Violences dans l'adolescence / Claudine Le foyer De Costil in Le Journal des psychologues, N° 263 (Décembre 2008 - janvier 2009)
PermalinkEuthanasie et soins palliatifs / Wim Distelmans
PermalinkPermalinkLa personne âgée face au deuil / Marie-Christine Adriaensen
PermalinkRisques et souffrance au travail / David Alis
PermalinkSanté mentale : L'ultramoderne blessure / Laure de Hesselle in Imagine demain le monde, N° 92 (Juillet - août 2012)
PermalinkPermalinkSoins palliatifs à domicile / Godefroy Hirsch
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