Résumé : | La mondialisation et son libre-échange reposent aujourd’hui sur trois piliers inacceptables : la course au moins-disant social et écologique, ainsi que l’usage frénétique des transports. Et qui gagne à ce jeu ? Les plus riches, les 29 millions de millionnaires en dollars répartis à travers le monde et qui sont américains, chinois, indiens, brésiliens, turcs, allemands, japonais, français, britanniques… Le fameux 1 % du mouvement Occupy Wall Street. Combattre ce système injuste est vital. Et le protectionnisme n’est pas une arme à abandonner à l’extrême droite, qui le transforme en néfaste repli sur soi. Sachons l’utiliser de manière positive, comme d’un marchepied vers un meilleur développement de tous. Car il en va de la protection de l’emploi et de l’environnement. Ici, chez nous. Mais aussi là-bas, au Sud ou à l’Est. |